Présentation de la semaine hip-hop instrumental
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Présentation de la semaine hip-hop instrumental
Salut tout le monde
Cette semaine je propose un overview sur la musique hip-hop instrumentale (ou wordless, comme dit KenLo).
On sait que le style musical qu'on appelle ''rap'' fait partie de la culture hip-hop, qui s'est développé à la fin des années 60s et au courant des années 1970s aux États-Unis. Pour ce que j'en comprends, le hip-hop s'est développé dans les quartiers pauvres, parce qu'ils étaient pauvres justement. L'art se fait sur le mobilier urbain et non sur des toiles, la musique utilise les instruments qui sont inclus dans un bodé d'humain à sa naissance (rap, beatbox), ou détourne l'utilisation des tables tournantes pour en faire un instrument.
Dans le mainstream, c'est surtout le rap qui a accroché. Très peu de beatbox pis de graffiti.
Les productions musicales sur lesquelles sont rappés les morceaux se complexifient à la fin des années 1980 (Beastie Boys, Run-DMC), et ouvrent leurs horizons sur une multitude de styles musicaux qui sont échantillonnés (beaucoup de funk, de rock, de soul, de jazz). Si bien que dans la deuxième moitié des années 1990s, on commence à sortir des albums sans rap.
Donc voilà, j'essaie cette semaine de vous montrer les plus gros noms du hip-hop. J'ai eu plus de difficulté que je pensais à trouver, car même dans la crème des producteurs, c'est quand même rare un artiste phare qui fait principalement ça de sa vie, des beats. Souvent ils vont trouver quelqu'un qui va rapper par dessus. Où alors c'est relativement underground, dans un contexte vraiment précis qui mériterait qu'on s'y attarde une semaine (la L.A. beat scene, le Piu-Piu montréalais). Ce que je voulais vous présenter, c'est les artistes qui détonne dans l'instrumental, qui prenne toute la place, qui sont les ''stars'' du genre, même si ça passe pas à la radio.
Je pense que c'est pas pire.
Cette semaine je propose un overview sur la musique hip-hop instrumentale (ou wordless, comme dit KenLo).
On sait que le style musical qu'on appelle ''rap'' fait partie de la culture hip-hop, qui s'est développé à la fin des années 60s et au courant des années 1970s aux États-Unis. Pour ce que j'en comprends, le hip-hop s'est développé dans les quartiers pauvres, parce qu'ils étaient pauvres justement. L'art se fait sur le mobilier urbain et non sur des toiles, la musique utilise les instruments qui sont inclus dans un bodé d'humain à sa naissance (rap, beatbox), ou détourne l'utilisation des tables tournantes pour en faire un instrument.
Dans le mainstream, c'est surtout le rap qui a accroché. Très peu de beatbox pis de graffiti.
Les productions musicales sur lesquelles sont rappés les morceaux se complexifient à la fin des années 1980 (Beastie Boys, Run-DMC), et ouvrent leurs horizons sur une multitude de styles musicaux qui sont échantillonnés (beaucoup de funk, de rock, de soul, de jazz). Si bien que dans la deuxième moitié des années 1990s, on commence à sortir des albums sans rap.
Donc voilà, j'essaie cette semaine de vous montrer les plus gros noms du hip-hop. J'ai eu plus de difficulté que je pensais à trouver, car même dans la crème des producteurs, c'est quand même rare un artiste phare qui fait principalement ça de sa vie, des beats. Souvent ils vont trouver quelqu'un qui va rapper par dessus. Où alors c'est relativement underground, dans un contexte vraiment précis qui mériterait qu'on s'y attarde une semaine (la L.A. beat scene, le Piu-Piu montréalais). Ce que je voulais vous présenter, c'est les artistes qui détonne dans l'instrumental, qui prenne toute la place, qui sont les ''stars'' du genre, même si ça passe pas à la radio.
Je pense que c'est pas pire.
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